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La collection aquagir

Alors, on fait circuler des rumeurs sur l'eau ?

Tout comme l'air que nous respirons, l'eau est omniprésente autour de nous. Alors, pourquoi diable devrait-on la payer ? Mais derrière chaque goutte d'eau que nous consommons se cachent les méandres des systèmes de distribution, les coûts invisibles et les réalités économiques…

L’eau du robinet, une bonne affaire économique et écologique

Un prix concurrentiel
En France, l’eau du robinet coûte en moyenne 4,33 € pour 1 mètre cube, soit 200 fois moins cher que l’eau en bouteille.
Service tout inclus
Ce prix couvre le traitement, la collecte, la distribution de l’eau et les services qui l’apportent à chaque maison.
Retour en bonne et due forme
Après utilisation, l’eau est collectée, nettoyée et rejetée dans la nature.

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FAQ

Quels sont les coûts cachés derrière la distribution de l’eau potable ?

Les infrastructures représentent une part importante de ces coûts cachés. L’entretien et le renouvellement du réseau de canalisations sont essentiels pour garantir la qualité de l’eau et éviter les fuites. Ce poste représente à lui seul 14% des coûts totaux. La construction et la maintenance des usines de traitement, ainsi que les installations de stockage comme les châteaux d’eau, comptent chacun pour 5% des dépenses.

Les coûts opérationnels sont également significatifs. Le prélèvement de l’eau brute dans les sources naturelles, les traitements de potabilisation (incluant le dégrillage, la coagulation, la filtration et la désinfection), ainsi que la surveillance constante de la qualité de l’eau, représentent chacun 5% des coûts totaux.

La protection de l’environnement engendre des coûts supplémentaires. La lutte contre la pollution des ressources en eau et la modernisation des réseaux pour réduire les fuites comptent chacun pour 5% des dépenses. Les mesures de protection des captages d’eau représentent 4% des coûts.

Les dysfonctionnements du système ont aussi un impact financier. Les pertes dues aux fuites dans le réseau de distribution, la facturation forfaitaire qui ne reflète pas toujours la consommation réelle, et les fraudes et raccordements illégaux représentent chacun 1% des coûts.

Enfin, les aspects sociaux et sanitaires ne sont pas négligeables. Les investissements pour améliorer les performances sanitaires comptent pour 3% des dépenses. Les coûts potentiels liés à la santé publique en cas de problème de qualité de l’eau, bien que difficiles à quantifier, sont également pris en compte dans la tarification globale

La part variable de la facture d’eau est le montant qui dépend directement du volume d’eau consommé par l’abonné. Elle se calcule en multipliant le volume d’eau consommé par un tarif au mètre cube

Le prix peut fluctuer significativement selon plusieurs facteurs : la disponibilité et la qualité de la ressource en eau, les infrastructures et le mode de gestion, les caractéristiques démographiques et géographiques (par exemple des tarifs saisonniers dans les régions touristiques) et la politique locale.