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Aujourd’hui, de plus en plus de sols sont dégradés, artificialisés ou pollués ce qui engendre une perte partielle ou totale de leurs fonctions. Le changement climatique, combiné à l’artificialisation des sols, engendre des phénomènes préjudiciables : renforcement des îlots de chaleur urbains, risque d’inondation, érosion de la biodiversité, détérioration du cadre de vie, perte de sols naturels et agricoles. Ce constat est alarmant et particulièrement dommageable car les sols détiennent un rôle clé dans le fonctionnement des écosystèmes. Et la qualité des sols joue un rôle crucial dans la durabilité des villes de demain. La qualité d’un sol pour l’infiltration présente des enjeux signifi...

Aujourd’hui, de plus en plus de sols sont dégradés, artificialisés ou pollués ce qui engendre une perte partielle ou totale de leurs fonctions. Le changement climatique, combiné à l’artificialisation des sols, engendre des phénomènes préjudiciables : renforcement des îlots de chaleur urbains, risque d’inondation, érosion de la biodiversité, détérioration du cadre de vie, perte de sols naturels et agricoles. Ce constat est alarmant et particulièrement dommageable car les sols détiennent un rôle clé dans le fonctionnement des écosystèmes. Et la qualité des sols joue un rôle crucial dans la durabilité des villes de demain. La qualité d’un sol pour l’infiltration présente des enjeux significatifs, des limites à prendre en compte mais également des perspectives encourageantes. Ainsi, le sol devient un élément fondamental des stratégies urbaines pour façonner les villes de demain.

Il y avait beaucoup de raisons à mettre en chantier une loi sur l’eau en 1992. L’une des principales était l’absence de la nature dans l’arsenal réglementaire. La première loi, celle de 1964, avait créé la solidarité financière des usagers de l’eau grâce aux agences de bassin, mais à l’époque on ne pensait pas aux écosystèmes aquatiques ni à la bonne santé des cours d’eau. Des accidents industriels avaient eu lieu sur le Rhin et la Loire qui appelaient à renforcer la police de l’environnement. La nouvelle décentralisation imposait de revoir les niveaux de responsabilité dans la gestion de l’eau. De façon générale, l’administration de l’eau avait perdu la vision d’ensemble d’un bien unique...

Il y avait beaucoup de raisons à mettre en chantier une loi sur l’eau en 1992. L’une des principales était l’absence de la nature dans l’arsenal réglementaire. La première loi, celle de 1964, avait créé la solidarité financière des usagers de l’eau grâce aux agences de bassin, mais à l’époque on ne pensait pas aux écosystèmes aquatiques ni à la bonne santé des cours d’eau. Des accidents industriels avaient eu lieu sur le Rhin et la Loire qui appelaient à renforcer la police de l’environnement. La nouvelle décentralisation imposait de revoir les niveaux de responsabilité dans la gestion de l’eau. De façon générale, l’administration de l’eau avait perdu la vision d’ensemble d’un bien unique. Elle s’était fragmentée entre les usages de la navigation, de l’industrie, de l’agriculture et des collectivités. Il fallait que l’Etat reprenne sa place de stratège et lance la réflexion sur l’avenir de la ressource et des besoins en eau. Le ministère de l’Environnement fut le coordonnateur du chantier, témoignant de la montée en puissance dans l’opinion du souci de l’écologie...

L’eau, élément essentiel à la vie et à nombre de nos activités, devient une ressource de plus en plus précieuse. Plus personne ne peut aujourd’hui ignorer les effets du changement climatique et son impact au quotidien sur notre vie avec une alternance de période de sécheresse et des épisodes pluvieux intenses. Collectivités, État, industriels, agriculteurs, usagers, nous devons tous être mobilisés pour une gestion plus sobre de l’eau ! Les Acteurs du Traitement des Eaux de la Parcelle formulent 10 propositions à l’attention des candidat(e)s des élections législatives. Nous nous tenons à la disposition des futur(e)s Député(e)s pour apporter nos retours d’expériences et détailler nos propo...

L’eau, élément essentiel à la vie et à nombre de nos activités, devient une ressource de plus en plus précieuse. Plus personne ne peut aujourd’hui ignorer les effets du changement climatique et son impact au quotidien sur notre vie avec une alternance de période de sécheresse et des épisodes pluvieux intenses. Collectivités, État, industriels, agriculteurs, usagers, nous devons tous être mobilisés pour une gestion plus sobre de l’eau ! Les Acteurs du Traitement des Eaux de la Parcelle formulent 10 propositions à l’attention des candidat(e)s des élections législatives. Nous nous tenons à la disposition des futur(e)s Député(e)s pour apporter nos retours d’expériences et détailler nos propositions pour développer ensemble le stockage, le traitement et la valorisation des eaux de la parcelle et notamment de préserver l’eau potable en promouvant une eau propre afin de répondre aux enjeux de la ville sobre de demain (participation citoyenne, densification urbaine, agriculture urbaine et sécurisation par rapport au changement climatique).