Les aquifères se forment à partir de roches poreuses, de roches fracturées ou de matériaux non consolidés tels que le gravier, le sable ou le limon. Il existe deux principaux types d'aquifères : les aquifères à nappe libre, reposant sur une couche très peu perméable et surmontés d'une zone non saturée en eau, et les aquifères captifs, dans lesquels l'eau souterraine est confinée entre deux formations très peu perméables. Les aquifères de roches sédimentaires sont composés de calcaires, sables, grès, craie, tandis que les aquifères alluviaux sont constitués de matériaux déposés par les cours d'eau tels que les sables et les graviers. Les aquifères sont des réservoirs importants d'eau souterraine et jouent un rôle crucial dans l'approvisionnement en eau potable et d'autres usages humains et industriels
Les aquifères sont exploités pour la production d'eau potable en extrayant l'eau souterraine à l'aide de puits ou de forages. Il existe deux principaux types d'aquifères : les aquifères à nappe libre, où l'eau peut être directement prélevée, et les aquifères captifs, où l'eau est confinée entre deux formations très peu perméables. Lorsqu'un forage atteint une nappe captive, l'eau remonte dans le forage. Les usagers d'eau souterraine, tels que les agents producteurs et distributeurs, exploitent directement les aquifères en extrayant l'eau pour la consommation humaine et d'autres usages
Les aquifères sont menacés par diverses activités humaines, notamment le pompage excessif qui peut entraîner l'épuisement des réserves en eau souterraine, en particulier pour l'approvisionnement en eau potable et l'irrigation. De plus, les activités industrielles, minières et agricoles peuvent entraîner la pollution des aquifères par des produits chimiques et des nitrates, mettant en danger la qualité de l'eau souterraine. La gestion inadéquate des eaux usées et des déchets peut également contaminer les aquifères, compromettant ainsi une ressource en eau essentielle. En outre, les changements climatiques, tels que la diminution des précipitations, peuvent affecter négativement la recharge des aquifères, augmentant ainsi leur vulnérabilité
