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À Bayonne, la station historique de Saint-Bernard a été entièrement réhabilitée et redimensionnée pour répondre aux charges à traiter actuelles, faire face au développement urbain des communes de Bayonne et Boucau, tout en prenant en compte les problématiques environnementales.
Dans les Ardennes, l’ancienne station d’épuration de la commune d’Attigny de 1102 habitants était à bout de souffle. Après cinquante ans d’existence, la station, située initialement en bordure de l’Aisne et à proximité des habitations, a été détruite. Elle a été remplacée par une nouvelle, fonctionnant selon le procédé de boues activées et implantée à distance des habitations et de la rivière. Elle assure désormais une meilleure gestion des eaux traitées qui transitent vers une zone de rejet végétalisée, source de développement de la biodiversité.
Depuis 1987, le golf de Royan est irrigué par les eaux usées traitées de la station d’épuration de Saint-Palais-sur-Mer. Un projet novateur à l’époque qui perdure et va être modernisé et réhabilité.
La commune de Brasseuse (60) et ses 112 habitants ont fait le choix d’un réseau collectif et d’une mini-station d’épuration à filtres plantés de roseaux. Une solution écologique et nécessitant peu d’entretien qui va permettre le développement de la commune. Ce projet de quelque 987 000€ a notamment bénéficié d’un Aquaprêt de la Banque des Territoires.
À Castets, la capacité de traitement de l’ancienne station d’épuration était devenue insuffisante. Une nouvelle station utilisant la technique d’épuration biologique des boues activées a ainsi été construite pour traiter les eaux usées de 5 500 équivalents habitants. La création de cette nouvelle filière a permis de doubler la capacité de traitement.
La communauté d’agglomération de Bergerac (24) va utiliser de l’eau recyclée pour nettoyer la voierie, arroser les espaces verts et réaliser l’hydrocurage des réseaux d’assainissement. Celle-ci est traitée par filtration, double désinfection et chloration dans la station d’épuration de Pont-Roux. Ce dispositif unique en France permettra d’éviter d’utiliser de l’eau potable et de réduire les coûts.
Pour éviter les fuites et augmenter la durée de vie de son réseau d’assainissement, Amiens Métropole met en œuvre le gainage de ses canalisations. Un robot rétablit l’étanchéité des parois en y appliquant une membrane polymérisée. Cette solution technique limite les travaux et la gêne des riverains.
A la Teste de Buch, construit le long d’une voie rapide et isolé de lieux d’habitation, le bassin de sécurité de Lagrua permet de stocker temporairement les eaux usées de la commune d’Arcachon et d’une partie de la commune de La Test de Buch. Si un problème survient sur le réseau d’assainissement, cet ouvrage est en mesure de stocker les eaux usées le temps de l’intervention. Grâce à lui, la période d’interruption admissible du réseau est passée de 4 heures à 4 jours. Un atout considérable pour éviter tout débordement et garantir la continuité du service. Tout est enfoui de telle sorte que cet ouvrage d’assainissement ne nuise ni à la vue ni à l’odorat.
Les communes de Canaples et Halloy-lès-Pernois (80) ont construit une station d’épuration par lagunage pour assurer un assainissement collectif jusqu’alors inexistant. Ce système de filtration par les plantes est adapté aux petites collectivités. Le chantier a représenté un gros investissement : 6M€ TTC pour les deux communes, dont 60% sont été subventionnés par l’Etat et l’Agence de l’Eau Artois-Picardie.
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