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Bien que les apports et transfert du phosphore vers les milieux aquatiques sont connus (notamment pour les pressions ponctuelles issues de l’assainissement et de l’industrie), ceux-ci restent néanmoins plus complexes pour les pressions diffuses. D’autant plus lorsqu’il s’agit de discerner les apports des différentes pressions dans les milieux aquat...

Bien que les apports et transfert du phosphore vers les milieux aquatiques sont connus (notamment pour les pressions ponctuelles issues de l’assainissement et de l’industrie), ceux-ci restent néanmoins plus complexes pour les pressions diffuses. D’autant plus lorsqu’il s’agit de discerner les apports des différentes pressions dans les milieux aquatiques. Dans ce contexte, l’Agence de l’Eau Loire-Bretagne a proposé de réaliser une étude approfondie sur ses 1 887 masses d’eau cours d’eau (MECE), couvrant l’ensemble de son bassin avec pour objectifs de : 1. Améliorer les connaissances sur les apports, les origines et les dynamiques de transfert du phosphore dans les milieux aquatiques. 2. Hiérarchiser les pressions par bassin versant homogène, en identifiant les principales sources de phosphore et en évaluant leurs contributions respectives (notamment agricoles et issues des réseaux d’assainissement). 3. Proposer des solutions et des plans d’actions pour réduire les transferts de phosphore vers les cours d’eau, avec une attention particulière portée aux bassins versants où la pression agricole est significative.

Assujetti à la prolifération d’algues et de cyanobactéries durant la saison estivale (fort taux d’ensoleillement), le lac des Prairies se voit être dans l’incapacité d’ouvrir la zone au public et par conséquent d’envisager toute activité de loisirs sur le plan d’eau, notamment de proposer une activité...

Assujetti à la prolifération d’algues et de cyanobactéries durant la saison estivale (fort taux d’ensoleillement), le lac des Prairies se voit être dans l’incapacité d’ouvrir la zone au public et par conséquent d’envisager toute activité de loisirs sur le plan d’eau, notamment de proposer une activité voile. L‘AMO sera chargé d’analyser et de comprendre la cause spécifique de ce phénomène de dérèglement écologique. L’AMO devra déterminer s’il existe des solutions techniques, des pistes d’actions permettant de résoudre efficacement et durablement cette problématique, le cas échéant, il devra en chiffrer le coût dans le cadre de la détermination du coût des aménagements.